J'avais écouté Transistor Radio au moment de sa sortie sans être vraiment séduit. J'avais donc pris la décision de ranger M.Ward dans ma catégorie "je ne comprends pas ce qu'on lui trouve", catégorie dans laquelle on trouve également Sufjan Stevens, Andrew Bird ou CocoRosie... En lisant les notes de pochettes du dernier Bashung, je fus surpris d'y apercevoir son nom, crédité sur certaines parties de guitares. N'en déplaise aux anonymes, j'étais tellement sous le charme de Bleu Pétrole que j'ai décidé de lui donner une autre chance (je suis un type qui croit à la 2e chance, moi). De façon aléatoire, je suis tombé sur Transfiguration of Vincent, le troisième album studio de Matt Ward. Ecrit en hommage à Vincent O'Brien, ami proche de Ward, ce disque est tout simplement merveilleux. On a l'impression d'écouter le chef d'oeuvre d'un type, ce qu'il a fait et fera de mieux dans sa carrière. Magique, complètement hors du temps, Transfiguration pourrait tout autant prendre place aux côté d'Harvest que d'I'm Wide Awake, It's Morning (le seul et unique album réellement audible de Bright Eyes). Trois morceaux de l'album en écoute pour vous convaincre.
mercredi 7 mai 2008
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3 commentaires:
Comment mettre Andrew Bird, Sufjan STevens et les infâmes Cocorosie dans le même panier ?? Hein ???
Sinon, oui, M Ward laissait entrevoir de très bonnes choses mais vraiment aussi de très mauvaises, je ne connaissais pas ce disque et je jette réellement une oreille satisfaite aux extraits proposés. Merci l'ami !
Avec plaisir ;)
le meilleur de Ward... et c'en est presque dommage !
son dernier ou l'anecdotique 'She & Him' me laissent perplexe
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